«Je t'invite à réécrire ton article entièrement»
Yseult n’a pas du tout apprécié un article écrit dans Le Monde par la journaliste Jane Roussel. La chanteuse l’a fait savoir sur Twitter.
Yseult est en colère contre la journaliste du Monde Jane Roussel, qui a fait son portrait dans Le Monde. La chanteuse s’en est prise sans ménagement à la journaliste sur Twitter, affirmant que l’article «pousse à la haine», et que «l’enregistrement» qu’elle en a ne «ressemble en aucun cas» à ce qui a été publié, invitant la reporter, qu'elle n'hésite pas à tutoyer, à «réécrire ton article entièrement».
Le titre de l'article? «Un apéro avec Yseult : 'Je suis une femme incroyable, obèse, qui s’aime et se déteste'». La journaliste y décrit sa rencontre avec l'artiste, déclarant notamment en introduction: «la chanteuse femme d’affaires assume son appétit XXL pour la bonne chère, l’indépendance et les provocations».
La demande d'Yseult est tout à fait inhabituelle, surtout en public. La principale concernée y a répondu. «Je n’ai pas écrit cet article afin de vous nuire. J’ai essayé de faire mon travail le plus honnêtement possible en témoignant du moment passé ensemble. Je reste à votre disposition pour discuter de ce qui ne vous convient pas, bien entendu», lui a-t-elle envoyé en guise de branche d’olivier, recevant une réponse «en toute objectivité» d’un certain Henri Jamet, qui affirme avoir écouté l’enregistrement.
Selon lui, l’article «retranscrit assez mal votre entretien, déforme l’ambiance, l’état d’esprit d’Yseult, et manque cruellement de bienveillance». Un clic sur le profil de ce dernier révèle qu’il est directeur du label d’Yseult.
Finalement, l’artiste choisira d’écrire sa retranscription et un droit de réponse dans un autre média, le magazine Nylon… tout en invitant la journaliste à mettre à jour son article.
Il est néanmoins à rappeler que les professions de journaliste et d’attaché de presse sont deux professions distinctes et exclusives (il n’est pas permis d’avoir la carte de presse si, la même année, on a effectué une mission d’attaché de presse), et qu’un journaliste est libre du ton qu’il emploie dans un article, protégé par la loi d
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